mardi 28 juillet 2015

L’étonnante découverte d’un chercheur russe sur les plantes, l’Astragale


astragale

En 1947, le chercheur russe Nicolaï Lazarev s’aperçut qu’il existait une catégorie de plantes qui, consommées par l’être humain, augmentent sa résistance aux diverses sortes de stress :

  • stress nerveux, mais aussi attaques microbiennes, froid, chaud, blessures, malnutrition, etc.
  • Nicolaï Lazarev baptisa ces plantes "adaptogènes", dans la mesure où elles accroissent notre capacité à nous adapter à des changements d’environnement, en particulier lorsque celui-ci devient plus agressif.
    En langage moderne, on pourrait dire que les plantes adaptogènes travaillent comme des "coaches" de notre santé.
    Dans la médecine traditionnelle chinoise, la notion d’"adaptogène" existe depuis des milliers d’années sous le concept de "toniques supérieurs", qui régularisent les diverses fonctions et augmentent l’énergie.
    Mais les recherches de Lazarev permirent d’établir de façon scientifique que plusieurs plantes avaient cet effet fortifiant et parmi elles, une des plus intéressantes est l’astragale (Astragalus membranaceus).

    Une plante prescrite depuis des centaines d’années contre la fatigue

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    L’astragale est sans doute la plus importante des plantes adaptogènes.
    Il figure dans la célèbre Chinese Herbal Medicine materia medica, le manuel de référence contenant 350 monographies sur les principales plantes utilisées en médecine chinoise.
    L’astragale est prescrit depuis des centaines d’années contre la faiblesse générale, contre des maladies chroniques ou pour augmenter la vitalité. Il est aussi dûment répertorié dans la pharmacopée japonaise.
    « L’astragale est également devenu extrêmement populaire aux États-Unis, un engouement qui n’est pas un effet de mode puisque c’est depuis les années 80 que les médias en ont fait un sujet récurrent. »

    La recherche confirme

    Les recherches pharmacologiques portant sur l’astragale, nombreuses, ont identifié plusieurs ingrédients actifs qui expliquent les effets de cette plante, dont sa concentration exceptionnelle en polysaccharides immunostimulants.
    Ces composés agissent naturellement pour traiter des maladies liées à des déficiences immunitaires, en particulier grâce à l’activité immunomodulatrice de leur fraction F3.
    Mais l’Astragale contient bien d’autres composants actifs qui expliquent ses vertus fortifiantes :
    saponines, flavonoïdes, acides aminés et éléments trace. En particulier, deux de ces composants, les saponines astragaloside iv et cycloastragénol, sont des substances anti-âge de pointe capables de stimuler la production de télomérase et donc de permettre aux cellules de dupliquer plus longtemps !

    La réalité rejoint ici la fiction.

    Malheureusement, le coût extrêmement élevé de leur extraction peut dissuader d’une plus large utilisation. L’extrait hydro-glycériné de la plante entière, plus abordable, renferme à dose réduite ces précieuses substances et offre également l’action synergique des autres composants.

    Des effets anti-âge importants

    Le système immunitaire décline avec l’âge ; les premiers signes apparaissent lorsque le thymus, une glande qui se trouve en bas de votre cou, commence à s’atrophier. En fait, cette diminution commence juste après la puberté mais elle devient de plus en plus perceptible avec les années.
    Le thymus perd peu à peu sa capacité à s’attaquer aux virus, aux bactéries ainsi qu’aux cellules cancéreuses. Et c’est là qu’intervient l’astragale. Cette plante stimule le système immunitaire de différentes façons. Elle augmente le nombre de cellules souches dans la moelle osseuse et le tissu lymphatique, et elle favorise leur développement en cellules immunitaires actives.
    Elle semble aider à faire passer les cellules immunitaires d’un stade "de repos" à une très grande activité. Elle aide également l’organisme à produire de l’immunoglobuline et stimule les macrophages, c’est-à-dire les cellules "mangeuses" de corps étrangers, qui protègent notre corps

    L’astragale peut également aider à activer les cellules naturelles tueuses et les lymphocytes T1, qui sont elles aussi les soldats de votre système immunitaire de protection.

    Meilleure protection contre les virus

    Des chercheurs ont montré que les polysaccharides de l’Astragale induisent chez l’animal comme chez l’homme la production endogène d’interféron.
    Cela veut dire que le corps réagit mieux, et de façon plus efficace contre les infections virales.
    Des souris traitées avec de l’Astragale puis exposées au virus Coxsachie B3 et au virus japonais de l’encéphalite, ont des niveaux d’interféron et une production de macrophages significativement plus importants que ceux des animaux non traités.

    Effets positifs sur le système immunitaire des patients cancéreux et sidéens

    Les polysaccharides de l’Astragale améliorent aussi la réponse des lymphocytes de sujets normaux et de patients cancéreux. Ils renforcent l’activité des cellules naturelles tueuses (celles immunitaires) chez des sujets normaux et chez des patients souffrant d’un lupus systémique érythémateux.

    La fraction F3 des polysaccharides potentialise l’activité de cellules immunitaires de patients cancéreux ou sidéens.

    Enfin, on a montré que l’Astragale augmente la résistance aux effets immunosuppresseurs des médicaments de chimiothérapie tout en stimulant la production par les macrophages d’interleukine-6 et de facteur nécrosant des tumeurs.

    Chez des souris, des doses orales d’Astragale stimulent plusieurs aspects de l’immunité. On a montré que les polysaccharides de l’Astragale potentialisent l’activité antitumorale des interleukines-2 et l’activité des monocytes.
    L’astragaloside IV est présent en quantité infinitésimale dans la racine d’astragale (Astragalus membranaceus), qui tient une place particulièrement importante dans la médecine traditionnelle chinoise. Un procédé extrêmement complexe et couteux permet de l’extraire et de le concentrer pour en obtenir une quantité active. Les produits vendus dans le commerce comme poudre ou extrait d’astragale ne contiennent pas de quantité détectable d’astragaloside IV.
    L’astragale est prescrite depuis des centaines d’années comme tonique et pour traiter un large éventail de maladies, pour prévenir l’affaiblissement des malades et les protéger contre les infections. La racine d’astragale contient, entre autres, une série de glycosides cycloartane dénommés astragalosides I à VII. L’astragaloside IV est celui qui a été le plus abondamment étudié dans des centres de recherche en Chine et en Europe.

    Ces recherches ont entre autres indiqué que l’extrait de racine d’astragale et l’astragaloside IV ont des propriétés :

    • -Immunostimulantes : leur action s’exerce par différentes voies, et notamment en augmentant le nombre de cellules souches dans la moelle épinière et les tissus lymphatiques et en favorisant leur développement en cellules immunitaires actives ; stimulant la production d’immunoglobulines et les macrophages ; favorisant l’activation des lymphocytes T et des cellules naturelles tueuses.
    • - Anti-inflammatoires qui ont été montrées sur certains modèles animaux. Sur des souris, la capacité de l’astragaloside IV à atténuer la progression de l’inflammation des voies respiratoires en cas d’asthme chronique a été constatée.
    • - Antibactériennes : elles ont été mises en évidence in vitro sur Shigella dysenteriae, Streptococcus haemolyticus, Diplococcus pneumoniae et Staphylococcus aureus.
    • - Antivirales : ils inhibent la réplication de certains virus comme la coxsackie, responsable de myocardites. Chez l’animal et chez l’homme, ils induisent la production endogène d’interféron et potentialisent son activité sur les infections virales.
    • - Antioxydantes : in vitro, l’astragale a inhibé de 40 % la peroxydation lipidique. Cette propriété explique en partie les effets cardioprotecteurs et neuroprotecteurs de l’astragale et de l’astragaloside IV.
    • -Cardioprotectrices : des études ont mis en lumière des effets bénéfiques sur des sujets souffrant d’insuffisance cardiaque congestive ou d’angine de poitrine. Les extraits d’astragale ont une activité cardiotonique.
    • -Neuroprotectives : la médecine traditionnelle chinoise utilise l’extrait de racine d’astragale pour traiter des maladies neurodégénératives. Une étude a montré la capacité de l’astragaloside IV à protéger les neurones dopaminergiques (la dégénérescence progressive des neurones dopaminergiques est à l’origine du développement de la maladie de Parkinson).
    • -Protectrices contre la toxicité des chimiothérapies : L’extrait d’astragale renforce la résistance aux effets immunosuppresseurs des médicaments de chimiothérapie en incitant les macrophages à produire des interleukines 6 et des facteurs de nécrose tumorale.
    • -Inhibitrices de la formation des AGEs (produits de glycation avancée) impliqués dans les complications neuropathiques des diabétiques.
    • Astragaloside, grâce à ses multiples propriétés et, en particulier, à ses capacités immunostimulantes, anti-inflammatoires, antioxydantes et antiglycation, est un supplément anti-âge incontournable.
    • Ces propriétés exceptionnelles seraient dues à une capacité très particulière de l’astragaloside : celle d’activer la télomérase et ainsi, de ralentir le raccourcissement des télomères, allongeant par ce biais la durée de vie cellulaire. Le raccourcissement des télomères est, en effet, lié au vieillissement cellulaire et à l’apparition des maladies accompagnant le vieillissement.
    Les télomères les plus courts ont été observés chez des octogénaires. Par ailleurs, chez des personnes âgées de 60 ans et plus, la probabilité de mourir d’une maladie infectieuse ou d’une crise cardiaque parait être beaucoup plus importante chez celles ayant les télomères les plus courts. D’autre part, des études ont montré qu’en stimulant la télomérase il est possible d’accroître de façon très importante la durée de vie des cellules.

    Références :
    (1). Jiao Y. et al., « Influence of flavonoid of Astragalus membranaceus’ system and leaves on the function of cell mediated immunity in mice », Zhongguo Zhong Xi Yi Jie He Za Zhi, 1999, 19:356-358.
    (2). Wang D.C., « Influence of Astragalus membranaceus polysaccharide FB on immunologic function of human periphery blood lymphocyte », Zhonghua Zhong Liu Za Zhi, 1989, 11:180-183.
    (3). Zhao X.Z., « Effects of Astragalus membranaceus and Tripterygium hypoglancum on natural killer cell activity of peripheral blood mononuclear in systemic lupus erythematosus », Zhonggo Zhong Xi Yi Jie He Za Zhi, 1992, 12:679-671.
    (4). Yoshida Y. et al., « Immunomodulating activity of Chinese medicinal herbs and Oldenlandia diffusa in particular », Int. J. Immunopharmacol., 1997, 19:359-370. Amessi, Grainede Ble

dimanche 26 juillet 2015

La combinaison miraculeuse de citron et de bicarbonate de soude: 10 000 fois plus puissante que la chimiothérapie!?

bicarbonate
Je suis tombé sur cet article sur l’un des sites que je suis et je voulais le partager avec vous. Ceci n’est pas destiné à remplacer ce que votre médecin vous conseillerais. Consultez toujours votre médecin.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu’il y a des organisations qui continuent de tirer profit de la maladie. C’est aussi simple que ça.
Savez-vous combien de gens meurent alors que ce secret est gardé seulement au nom du profit?
Il a déjà été prouvé que le citron a de fortes propriétés anti-cancérigènes. En plus de cela, il a de nombreuses autres propriétés bienfaisantes. Le citron a un fort pouvoir sur les kystes et les tumeurs.
citron
Les agrumes peuvent guérir le cancer. Des études récentes ont montré que consommer des agrumes, en particulier des citrons, ont pu empêcher et dans certains cas, guérir le cancer. Et en ajoutant du bicarbonate de soude, vous régulariserez le pH de votre corps, ce qui rend le cancer inapte à continuer de se propager.
Une récente étude cas-témoin en Europe a montré que la consommation de quatre ou plus de portions de 150 grammes d’agrumes par semaine a diminué les risques de cancer de la gorge de 58%, du cancer du pharynx de 53%, du cancer de l’estomac de 31 % et du cancer colorectal de 18%. Cette étude n’a pas trouvé d’effet protecteur des agrumes contre le cancer du sein, mais une récente étude Américaine a bien montré que les femmes qui consommaient environ 75 grammes par jour de pamplemousse (le fruit ou en jus) ont vu une réduction du risque de 22% du cancer du sein si elles n’avaient jamais utilisé de thérapie de substitution hormonale. Il est important de noter que l’effet protecteur de la consommation d’agrumes a été presque identique dans ces deux études (525-600 grammes par semaine) et pourrait être interprétée comme consommation minimum pour une protection significative contre le cancer. Cependant, il est également important de connaître les meilleures sources de limonoïdes si ces composants sont les facteurs clés des propriétés anti-cancer des agrumes.
Le citron a un effet antimicrobien puissant avec un très large spectre d’efficacité contre les infections bactériennes et fongiques. Le citron est efficace également contre les parasites internes et les vers, il régularise la pression artérielle et est un puissant antidépresseur, réduit le stress et les crises de nerfs.
Quelle est la source de cette information? Elle provient de l’un des plus grands fabricants de médicaments, qui stipule que, après 20 tests de laboratoire effectués depuis 1970, ils ont prouvé que:
Le citron détruit les cellules cancérigènes dans 12 types de cancers. Le citron empêche la propagation des cellules cancérigènes et a une efficacité 10 000 fois plus importante que des médicaments comme l’Adriamycine, la chimiothérapie et les narcotiques.
CITRONbicar
La chimiothérapie cause d’horribles effets secondaires, le plus délétère étant la destruction des cellules saines, dit simplement, elle vous tue. Les jus de citron et le bicarbonate de soude, en revanche, ne tue que les cellules cancéreuses.
La combinaison miraculeuse de citron et de bicarbonate de soude: 10 000 fois plus puissante que la chimiothérapie!
Ingrédients
– 2 cuillères à café de jus de citron bio (fraîchement pressé)
– 1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude (sans aluminium)
– 250 ml d’eau
Instructions
– Les patients devraient en boire 4 fois par jour.
– Veuillez vous assurez d’utiliser des citrons bio.
Veuillez vous assurer d’utiliser des citrons bio. Les citrons bio sont 100 fois plus efficaces que les citrons cultivés avec des engrais chimiques et pulvérisés avec des produits chimiques.
Source:
Instituto de Ciencias de la Salud, L. L. C. 819 N. Charles Street Baltimore, MD 1201
http://www.secretlyhealthy.com/lemon-and-baking-soda-miraculous-combination/
http://cancerres.aacrjournals.org/content/69/6/2260.abstract
Des sources supplémentaires pour cet article comprennent:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23117440
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19856118
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17892257

Source: Santé Nutrition, le 11 juillet 2015

dimanche 19 juillet 2015

Un trentenaire sur 2 aurait un corps de… quinquagénaire !

vieux-jeune 
A l’âge de 38 ans, l’âge biologique peut varier de…moins de 30 ans à presque 60 ans ! Telle est la conclusion d’une étude publiée par la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Nous sommes tous inégaux devant le vieillissement…mais l’âge de nos artères nous joue à tous de sacrés tours! L’âge réel, établi à partir de la date de naissance, diffère de l’âge biologique. L’âge des artères, comme on dit ou, plus rigoureusement, l’âge des systèmes qui font de nous un organisme vivant (cardio-respiratoire, pulmonaire, osseux, immunitaire…) peut réserver des surprises dès la trentaine. 

L’étude publiée par le PNAS et menée auprès de 954 patients par l’équipe du professeur Daniel Belsky révèle en effet que « quand les gens ont 38 ans, leur âge biologique peut varier de moins de 30 ans à presque 60 ans ». Cette distinction s’explique par « les différences dans le taux de vieillissement du corps » qui « commencent beaucoup plus tôt qu’on ne le pensait », constate Daniel Belsky. Et de rappeller que les ‘ »autres études ont surtout analysé l’âge biologique après 70 ans ». Le panel retenu par les chercheurs est cette fois composé de patients nés entre 1972 et 1973 chez qui 18 paramètres ont été suivis et enregistrés. Voici en deux croquis ce qu’affirme l’étude !
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Source: Télégramme.fr, le 17 juillet 2015