vendredi 9 janvier 2015

Un homme avec un cancer du poumon incurable refuse la chimio et survit





Stamatis Moraitis, le cher « grand-père » des médias internationaux , qui ne se souvenait pas de son âge exact (98 ou 102 ans), est décédé 36 ans après que les médecins lui aient diagnostiqué un cancer du poumon incurable.

À l’époque, neuf médecins ont confirmé le diagnostic et ne lui ont donné plus que neuf mois à vivre.

Dans plusieurs interviews, il avait confié que le secret de sa longévité était le vin de sa propre production et les produits d’Icare. Moraïtis envisagea de rester aux États-Unis pour suivre un traitement lourd à l’hôpital. Cela lui permettrait de rester à proximité de ses enfants désormais adultes.



Mais il a préféré retourner à Icarie, pour être enterré auprès de ses ancêtres dans un cimetière ombragé par des chênes plantés en surplomb de la mer Égée. Il a refusé la chimiothérapie et les médicaments que les médecins américains avaient prescrit. Tout ce dont il se préoccupait était son jardin et les vignes de ses parents.

« Je m’attendais à mourir, mais ça n’arrivait pas. Le soir, je marchais jusqu’à la taverne où je jouais au Backgammon et buvais du vin avec mes amis jusqu’à minuit », a-t-il dit dans une interview.

Les habitants d’une petite île grecque vivent en moyenne 10 ans de plus que le reste de l’Europe occidentale. Alors, quel est le secret de longue vie à Icare ?

On pourrait penser à la vie à l’air frais, un style de vie convivial et facile à vivre. Ou bien aux légumes frais et au lait de chèvre. Ce pourrait être le terrain montagneux qui maintient en forme. Mais Stamatis Moraitis pensait à autre chose

« C’est le vin, » dit-il, autour d’un verre en milieu de matinée. « Il est pur, rien n’est ajouté. Le vin du commerce a des conservateurs. Ce n’est pas bon. Mais le vin que nous faisons est pur. »

Selon ses documents, Stamatis est né le 1er janvier 1915. Sa maison blanchie à la chaux était entourée de ses chers oliviers, arbres fruitiers, et de ses vignes. Il faisait environ 700 litres de vin par an qu’il buvait avec ses amis, dit-il.





Cet homme avec un cancer du poumon incurable a refusé la chimio et a survécu

Il existe de nombreuses histoires comme celles-ci sur Icarie. Certaines peuvent très bien être simplement des histoires, mais ces dernières années les scientifiques et les médecins sont allés sur l’île pour connaître la véritable histoire.

Icarie doit son nom au mythe grec d’Icare, qui, selon la légende, a plongé dans la mer près de l’île lorsque ses ailes de cire et de plumes ont fondu. Depuis des siècles cette île est connue comme une destination santé en raison de ses sources chaudes naturelles.

Plus récemment, elle a été identifiée comme une « zone bleue » par l’auteur Dan Buettner et National Geographic, où les résidents jouissent d’une grande longévité. D’autres endroits incluent Okinawa au Japon, la Sardaigne en Italie, et Loma Linda en Californie.


Plus le temps passait et plus la santé de Stamatis s’améliorait. Plus de trente ans après son diagnostic, il a réalisé qu’il n’allait pas mourir d’un cancer. À 97ans, Stamatis a eu le courage de se soumettre à un examen médical pour confirmer qu’il n’avait plus de cancer. Il voulait savoir ce qui lui était arrivé et pourquoi il n’était pas mort.

Ses médecins l’ont soigneusement examiné lui et ses dossiers médicaux. Non seulement ils lui ont donné un certificat de bonne santé, mais il a également appris que tous les médecins qui avaient annoncé qu’il ne lui restait plus que 9 mois à vivre s’il ne faisait pas de chimiothérapie étaient morts, ils étaient tous morts ! Pendant ce temps, Stamatis a vécu jusqu’à l’âge de 102ans, et il n’est pas mort d’un cancer !



Il y a beaucoup de facteurs importants concernant le mode de vie des insulaires qui pourraient contribuer à leur longévité.

Même par rapport à un régime méditerranéen typique, les Icariens mangent beaucoup de poisson et de légumes, et peu de viande.

Six personnes sur dix qui ont plus de 90 ans sont toujours actifs, contre environ 20% ailleurs. La plupart des aliments sont cuits à l’huile d’olive. Beaucoup de légumes et d’herbes sont recueillis des coteaux à des fins alimentaires et médicales.

Beaucoup de personnes âgées consomment une sorte de tisane, « le thé des montagnes », faite d’herbes sèches qui poussent sur cette île, et qui est consommée en fin de journée : il s’agit d’un mélange de marjolaine sauvage, de sauge, de romarin, d’armoise, de feuilles de pissenlit et de menthe (fliskouni), auquel on ajoute un peu de citron et qu’on sucre avec le miel des abeilles de l’île.

La plupart des herbes sauvages sont utilisées par les gens du monde entier comme remèdes traditionnels. Elles sont riches en antioxydants et contiennent également des diurétiques qui peuvent abaisser la pression artérielle.

Le Dr. Christina Chrysohou, cardiologue à la Faculté de Médecine de l’Université d’Athènes, a étudié le régime de 673 habitants d’Icare, et a découvert qu’ils consomment six fois plus de légumineuses (haricots, lentilles, pois) que les Américains, mangent du poisson deux fois par semaine et de la viande cinq fois par mois, et boivent deux à trois tasses de café et deux à quatre verres de vin par jour.

Bien entendu, la bonne santé des habitants d’Icare tient peut-être aussi à ce qu’ils ne mangent pas. La farine blanche et le sucre sont absents de leur régime traditionnel.

Sources
[1] http://www.nytimes.com

http://www.espritsciencemetaphysiques.com
[2] http://www.huffingtonpost.com
[3] http://www.island-ikaria.com/culture/ikarians.asp
[4] http://www.healthyfoodstar.com
[5] http://www.realfarmacy.com

jeudi 8 janvier 2015

Un ovni rectangulaire près de la Station Spatiale Internationale le 3 Janvier 2015





Un ovni rectangulaire près de la Station Spatiale Internationale le 3 Janvier 2015

ovniiss
ovniiss2
Date de l’observation: 3 Janvier 2015
Lieu de l’observation: En orbite autour de la Terre
Via la webcam de l’ISS
Un ovni a été repéré par Streetcap1 sur Youtube cette semaine. Il était relativement proche de la station spatiale et était de forme rectangulaire. Les ovnis sont si souvent observés près de la station spatiale que cela ferait cogiter n’importe qui… est-ce que les extraterrestres envoient leurs scientifiques pour observer notre station spatiale et mieux comprendre l’exploration spatiale de l’humanité? On dirait que c’est le cas. Les deux vidéos ci-dessous traitent du même évènement, mais celle en haut n’a pas été altérée, la vidéo plus bas a ajouté de la lumière pour révéler certains détails.
Si vous avez le temps, merci à vous de vous abonner à Streetcap1. Il a plusieurs vidéos et il se renseigne quotidiennement et il passe beaucoup de temps à observer tout cela pour la communauté ufologique. Merci à vous,
Source: UFO Sightings Daily, le 4 Janvier 2015

mercredi 7 janvier 2015

Charlie Hebdo... dessin prémonitoire...

Greffer une tête humaine sur le corps d’un mort : bientôt possible ?


Le neurochirurgien italien Sergio Canavero affirme que d’ici deux ans, on pourra transplanter la tête d’un patient tétraplégique ou avec un cancer métastasique sur le corps d’un mort. Impossible et farfelu ? L’expérience a déjà été partiellement réussie sur des singes dans les années 1970…

Source : Futura-sciences



La médecine devient-elle comparable à la mécanique automobile ? Lorsque les soins apportés ne suffisent plus à guérir, les pièces défaillantes sont remplacées lors de transplantations, un procédé toujours délicat qui tend à se démocratiser. Les succès s’enchaînent. En parallèle, les chercheurs tentent d’éviter le recours aux donneurs, parfois incompatibles, mais essaient de recréer les organes entiers à l’aide de cellules souches, bien que les processus n’en soient encore qu’à leurs balbutiements…Lire la suite sur Futura-Sciences


lundi 5 janvier 2015

Le "rayon de la mort" de l'armée américaine


Le "rayon de la mort" de l'armée américaine fonctionne bien

Star Wars semble de moins en moins être de la science-fiction. Le canon laser de l'armée américaine a été testé avec succès et on peut désormais le voir en fonctionnement grâce à une vidéo.






Parfois, fiction et réalité se rejoignent. Après quatre mois de tests divers, l'armée américaine a publié hier une vidéo montrant son "Laser Weapon System" ou LaWS pour les intimes. Un canon laser qui sert à détruire des cibles légères de manière quasi-invisible, en silence, et pour pas cher en plus.

Installé sur l'USS Ponce, un navire déployé dans le Golfe persique, le "rayon de la mort" d'une puissance de 30 kW émet un faisceau laser infrarouge, ce qui le rend complètement invisible à l'œil et, puisqu'il s'agit de lumière, aucun bruit n'est émis non plus. Enfin, la construction mis à part, chaque tir ne coûte qu'environ 1 dollar. Nettement moins qu'un missile traditionnel.

Comme on peut le voir dans la vidéo l'opérateur du canon manipule l'arme à l'aide de ce qui ressemble à une manette de jeu-vidéo, avec évidemment le renfort de divers systèmes de pointage, notamment pour les cibles en mouvement comme des drones. L'armée affirme qu'aucun tir n'a été manqué jusqu'à présent.

Portée inférieure à 2 Km

Reste que sa puissance du laser reste limitée, avec 30 kW, il ne pourra que détruire que des cibles légères à une distance inférieure à 2 Km. Rappelons que le laser ne détruit rien à proprement parler, c'est la chaleur dégagée par le rayon en un point précis qui permet d'engendrer des dégâts. L'armée vise, comme on peut le voir dans la vidéo, des petits engins autonomes ou des navires semi-rigides en s'attaquant au moteur par exemple. Conformément aux conventions de Genève, les hommes ne seront pas une cible de l'arme.

L'armée américaine travaille sur des modèles nettement plus puissants, entre 100 et 150 kW, qui pourraient quant à eux détruire en plein vol des missiles. Ils pourraient être prêts en 2017. Reste que son utilisation est conditionnée par la météo, impossible de s'en servir lorsque le ciel est nuageux ou par une brume épaisse. Les lasers ne remplaceront pas les armes conventionnelles tout de suite.



Source: http://www.cnetfrance.fr

dimanche 4 janvier 2015

Des scientifiques russes lèvent des fonds afin de reconstruire la Tour Tesla

Des scientifiques russes lèvent des fonds afin de reconstruire la Tour Tesla pour satisfaire la faim mondiale d’énergie

Des scientifiques russes lèvent des fonds afin de reconstruire la Tour Tesla pour satisfaire la faim mondiale d’énergie

tesla-coil
Deux physiciens russes lèvent des fonds pour réaliser leur projet de transmission d’énergie sans fil, alors proposée par le brillant scientifique du 20e siècle Nicolas Tesla. Les panneaux solaires et une Tour Tesla moderne pourraient résoudre la faim mondiale d’énergie, disent-ils.
Leonid et Sergey Plekhanov, tous deux diplômés de l’Institut de physique et de technologie de Moscou, affirment qu’ils ont passé des années à scruter les brevets et les journaux de Nicolas Tesla et ils pensent que, avec ce projet très ambitieux (la transmission transcontinentale d’énergie sans fil) Tesla a mis la main sur une découverte scientifique sans précédent.
tour-tesla Les amateurs disent qu’ils ont besoin d’environ 800,000 dollars pour reconstruire la célèbre Tour Wardenclyffe, qui a une fois été créée par Tesla lui-même, et de mettre en œuvre ses idées afin de trouver une application commerciale pour ses idées de transmission énergétique sur de longues distances.
Les frères Plekhanov récupèrent des fonds par le biais de IndieGoGo kick. La campagne durera jusqu’au 25 Juillet. Jusqu’ici, le projet n’a réussi à recueillir que 2 pour cent de la somme souhaitée (environ 18,000 dollars des 800,000 à l’heure où nous écrivons cet article).
Selon les auteurs du projet, tous les besoins énergétiques de la civilisation humaine pourraient être couverts avec une seule installation d’un panneau solaire d’une dimension d’environ 316 par 316 kilomètres (100 000 kilomètres carrés au total) placé dans un désert, quelque part près de l’équateur.
Ils croient que la clé de voute d’un tel projet est l’approvisionnement d’énergie électrique aux consommateurs, car la perte d’énergie dépend directement de la distance de la transmission.
[…]
Source: Russia Today, le 5 Juillet 2014

samedi 3 janvier 2015

Citron, curcuma, deux recettes intéressantes pour la santé

L'écorce de citron guérit les articulations : une recette pour vous réveiller sans douleur
Le citron contient des vitamines C, A, B1, B6, du magnésium, des bio-flavonoïdes, de la pectine, de l'acide folique, du phosphore, du calcium et du potassium. Il protège contre de nombreuses maladies et a un effet positif sur les intestins, l'estomac, le foie et le système immunitaire.

Si vous consommez régulièrement du citron, vous pourrez prévenir de nombreuses maladies comme la grippe, la laryngite, les infections bactériennes et l'hypertension.

Comme vous pouvez le voir, vous pouvez utiliser ce fruit pour divers objectifs de santé, y compris guérir vos articulations douloureuses. Nous allons vous présenter une recette qui vous aidera à soulager la douleur des articulations des bras et des jambes.
Mettez les écorces de deux citrons dans un flacon et remplissez-le d'huile (olive, amande douce). Refermez le flacon et laissez reposer pendant deux semaines. Quand le remède est prêt, mettez un peu du mélange huileux sur une gaze et placez-là sur la partie atteinte. Mettez un morceau de plastique sur la gaze et une écharpe en laine sur le plastique. Faites cette procédure le soir car le meilleur moyen de guérir vos articulations est de laisser cet enveloppement agir toute la nuit.
Eau chaude citronnée et curcuma – un puissant breuvage curatif et un élixir parfait pour le matin
En mélangeant de l'eau citronnée chaude à du curcuma, vous obtiendrez un breuvage aux pouvoirs curatifs et un élixir matinal parfait. Cette boisson est également efficace sous la forme de lait au curcuma.

Vous n'êtes pas familier de l'efficacité des effets du curcuma ? Laissez-moi vous le remettre en mémoire. Le curcuma est une épice indienne jaune orangée et elle appartient à la même famille que le gingembre. Le curcuma est réputé pour son puissant effet antioxydant qui lutte contre les radicaux libres et pour ses vertus antiseptiques et naturellement anti-inflammatoires.

Le curcuma est inévitable dans la cuisine indienne, mais si vous ne mangez pas régulièrement de plats indiens, comment inclure cette merveilleuse épice dans votre alimentation ? Simple ! Ajoutez-en dans votre eau citronnée. Pour accroître ses effets bénéfiques, ajoutez une pincée de cannelle, qui possède des propriétés anti-inflammatoires et possède la capacité de réguler le taux de sucre dans le sang (ce qui veut dire que vous mangerez moins et vous sentirez plus vite rassasié).
Élixir du matin

Ingrédients:
  • 1 tasse d'eau chaude (non bouillante) ; vous pouvez préparer le breuvage avec un lait végétal (amande, soja, avoine, riz).
  • Un quart de cuillère à café de curcuma
  • Le jus d'un demi-citron
  • Une pincée de cannelle (en option)
  • Un huitième de cuillère à café de miel
Préparation :
Après avoir chauffé l'eau, ajoutez le curcuma, le jus de citron et le miel. Mélangez bien. Le curcuma va se déposer au fond de la tasse, continuez de tourner le mélange pendant que vous buvez et vous utiliserez tous les bienfaits du curcuma. Assurez-vous de boire tant que c'est chaud.
Le curcuma est vraiment bon marché. Il donnera un léger goût à l'eau citronnée et agira efficacement sur tous les organes du corps. Ajouter cette puissante épice à votre alimentation est l'une des meilleures choses à faire pour votre santé.



Dans la même idée, le naturopathe Wladislas Barath utilise le gingembre frais à la place du curcuma. Il conseille fortement de ne pas prendre son petit déjeuner immédiatement après, mais d'attendre au moins une demi-heure à une heure.

Voici sa recette à prendre impérativement à jeun :

Recette pour le matin :

½ jus de citron
¼ à ½ de cuillère à café de miel
½ cm de racine de gingembre râpée
une pincée de cannelle (cannelle en bâton râpée préférable)

Compléter avec de l’eau chaude pour avoir un verre plein de 20 cl.

Source

vendredi 2 janvier 2015

Appareils et projets aéronautiques des nazis




Vers la fin du conflit les nazis possèdaient la première famille de moteurs à
réaction de l'histoire, mais pour les soucoupes rien n'est prouvé !

En 1945 les alliers ont récupéré la technologie nazi et bénéficié de l'énorme avance technologique des ingénieurs allemands en aéronautique : moteurs à réaction, fusées ... C'est à partir des années 50 que le gouvernement américain exerce un " debunking " total et systématique sur le phénomène des OVNIS, c'est à dire leur dénigrement, dans l'opinion. C'est aussi dans les années 50 qu'apparurent des rumeurs sur les ovnis comme étant en fait des engins secrets issus de soucoupes volantes nazies.

Les alliés débarquent en Normandie et les russes foncent sur Berlin. Hitler épouse Eva Braun en secret. Le Führer désigne Goebbels (témoin à son mariage) comme chancelier du Reich dans son testament, puis il disparaît. Quand les alliers arrivent à berlin le bureau de recherche de Shriever est détruit. L’équipe de chercheurs nazis aurait disparue avec le matériel, partis tout comme les frères Horten, pour l’Argentine.






Le plus connu des projets ovnis nazis fut le programme Schriever-Habermohl, du nom de Rudolf Schriever et d’Otto Habermohl. D’abord un projet de la Luftwaffe, il est tombé sous les auspices du ministre de l’armement Albert Speer avant d’être repris en 1944 par Hans Kammler.

Des témoins oculaires capturés par les Alliés après la seconde guerre mondiale ont affirmé avoir vu la soucoupe produite de Prague voler à plusieurs reprises au début de 1945. Joseph Andreas Epp, un ingénieur qui a servi comme consultant pour le projet Schriever-Habermohl, a déclaré que 15 prototypes avaint été construits en tout.

Pendant la guerre des sociétés d'armements US vendaient des fournitures aux nazis, et les banques leur prêtaient de l'argent afin de les acquérir. A la fin de la guerre tous les scientifiques allemands et ce qui restait des technologies issues des mondes extérieures furent destinés aux Américains (nom de code "Paper clip")., L'armée américaine arriva à l'usine de production le 14 avril 1945 et mis la main sur plusieurs engins allemands, dont le Horten IX.

Richard Miethe, le père du V7, a fuit l’Allemagne en 1945 pour ce rendre aux USA. Les Russes s’emparèrent de 3 ingénieurs et des copies des plans du V7 (partagès avec les américains). Au procès de Nuremberg, le débat sur la face occulte du nazisme fût clos sans être ouvert et rien ne filtra sur le sujet. R. Miethe confirma en 1953 dans le journal Allemand " Die Welt " avoir participé à la mise au point des fameux disques V7 : « Si des disques volants évoluent dans le ciel, j'ai la prétention de dire qu'ils ont eté construits en Allemagne, mis au point sous mes ordres, et problablement reproduits en série par les Russes. »


Les photos suivantes sont authentiques mais ne sont pas des OVNIS,
simplement des appareils et projets militaires ou des maquettes.


VRIL(1934/1945)
Le Vril 1, premier de la série des " Vril " construit début 1934 jusqu'en 1942 est resté à l'état de prototype, mais il volait ! Au début des années 40 il était possible de faire des photographies en couleur. Voici donc la première soucoupe du Reich en couleur, le Vril 5. Une automobile est derrière le Vril 6 sur sa base, surement pour le tracter. Le numéro 7 de la série restera un projet (plans) ainsi que les deux suivant : le Vril 8 Odin (1945) et le Vril 9 (1945).


Vril 1 (1934/1942) Vril 1 plan (1934/1942) Vril 5 (1940) Vril 6 (1943)


R F Z (1934/1940)
 


Selon plusieurs sources, RFZ voudrait dire "Rund Flugzeuge", signifiant "l'avion rond", ou "Reichsflugzeuge", l'"avion du Reich". Il y eu 6 série de RFZ, le numéro 5 pris le nom de Haunebu 1


HAUNEBU (1939)


Les Nazis avaient des soucoupes bien avant la seconde guerre mondiale. Encore au niveau du prototype, les nazis travaillait toujours sur le concept de soucoupes volantes.


HAUNEBU 2 (1940)

 Probablement un engin de la série des Haunebu. Remarquez la mitrailleuse en tourelle. Elle rendait la soucoupe instable, par la suite les Nazis projetaient d'utiliser un espece de lazer appelé "Le rayon de la mort" à la place de la mitrailleuse.


ANDROMEDA (projet)

Un avion gros porteur (en forme de cigare) de 139m de diamètre destiné au transport de troupes et/où de matériels, il pouvait emporter par exemple 5 soucoupes. Il ne fût probablement jamais construit.


FOCKE WULF VTOL (projet)

En 1939 l'idée de créer des avion circulaire avec une pale rotative fût proposé par l'ingénieur Heinrich Focke. Ancêtre de l'hélicoptère et de conception très simple, il ne fût pourtant jamais construit.


HORTEN IX

Un des avions dessiné par Doenitz et livré aux américains à la fin de la guerre. Commencé début 1945 il est le précursseur de la série des "Stealth" américains.


GOTHA (1945)
La série Gotha de l'architecte designer " Doenitz" produit par l'association des firmes Heinkel et Hirth (firmes associées afin de produire la première famille de moteurs à réaction de l'histoire).

C'est l'un de ses produits qui propulsait le He 178 le 27 août 1939 lors du premier vol d'un avion à réaction de l'histoire. La série des Gotha sont des avions de combat à reaction en avance sur leur temps ! Le pilote était allongé à l'avant de l'appareil. Heureusement pour les alliés, il n'y en avait pas beaucoup en 1945 et sans carburant, difficile de les faire voler !






Base secrète nazi en Antartique...

En date du 14 décembre 1944 (six mois avant la fin de la Guerre) le très sérieux et important quotidien US, le “New-York Time”, publiait pour la première fois, depuis les premières observations dans le monde, de “soucoupes volantes”un article étonnant: ” Les ’soucoupes volantes’ sont des armes secrètes.Une nouvelle arme allemande a fait son apparition sur le front occidental.Les pilotes de l’US Air Force rapportent que des “boules d’argent” survolent l’Allemagne, parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent totalement transparentes“

Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins? Un retour en arrière est indispensable : Vers les années 1936, dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie s’y préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime. Outre les accords secrets avec des “alliés du Grand Reich” et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base discrète, solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine.

L'histoire commence en fait en 1938, lorsque le transporteur hydravion allemand Schwabenland commandé par Albert Richter, un vétéran des opérations par temps froid navigue à travers l'Atlantique Sud, à destination de Terre de la Reine Maud dans l'Antarctique.

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Arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent “NEUES SCHWABENLAND”

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L'appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND..

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" Il est largement admis que l'expédition de NewSchwabenland visait à installé une base secrète des opérations. "

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Une base allemande a été établie dans la Muhlig-Montagnes Hofmann. La zone a été rebaptisé Neuschwabenland (Nouvelle-Souabe). Cette base a été connu que comme station 211.


Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines.
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Les état-major des marines des Alliés, en particulier ceux de la US-Navy et de la Royal-Navy ont estimé, après avoir ,des mois durant, dressé les inventaires de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimé qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparu…
Ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni saisies, ni arraisonnées par les forces Alliées.. Officiellement et statistiquement, personne ne sait où sont passés ces sous-marins !

Ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des “équipages et passagers constitués de techniciens spécialisés”, fuyant sur ordres l’occupation alliée en Allemagne, du matériel sophistiqué aurait pu être débarqué à la base du Neu-Schwabenland, mais aussi peut etre  des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent mis à l’abri…


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 Au début de l’année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de NewSchwabenland, sur le territoire allemand du même nom, en antarctique existait toujours et des Nazis l’occupait toujours après l’armistice.

Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d’y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succès. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de NewSchwabenland.

Aussi en 1946, le commandement allié confia la responsabilité d’une nouvelle et colossale opération à l’amiral Richard Byrd, l’homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l’époque. L’Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Richard Byrd prépara l’invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : “l’Operation Highjump”.

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Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notamment l’étude des pingouins. Le plan d’attaque était d’entrer dans la région opposée de la base de NewSchwabenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l’objectif final.
L’opération militaire combina des forces terrestres et navales de façon massive :

- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.

Il n’est pas étonnant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l’armée US quand il n’étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non gouvernementales, transformés alors en navire de transports où autres… La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L’expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud.
Officiellement il n’y a pas eu de combats contre les Nazis en antarctique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne: 1500 morts chez les alliés et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le Chili Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que “la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes !”

Aux USA il sera difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de « guerre des pingouins ».

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’Opération Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l’armée US.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de NewSchwabenland, une explosion en surface et une autre souterraine…

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